Psychanalyste

Concernant l'hypnose régressive

Si nous voulons aller trop vite, si nous entretenons trop de peurs, si ce n’est pas le moment pour nous, la mémoire ne sera pas accessible. Ce qui est très rare selon mon expérience car j’insiste sur la préparation à l’ouverture en favorisant différentes méthodes.

Pour ce qui est de la peur, elle est l’indice d’une maturation insuffisante de notre ouverture de conscience. Tant que la peur est forte, nous devons continuer à patienter en nous documentant. Lorsque nous sommes prêts en lieu et place de la peur, ce sont des souhaits sincères de connecter qui s’y trouvent. Le maître mot est patience.

Par ailleurs, il est important de comprendre que ce n’est pas une question d’y arriver ou non. Si nous sommes prêts la mémoire s’ouvre. Si nous ne sommes pas prêts elle ne s’ouvre pas.

L’accueil, le lâcher-prise, la confiance sans attente particulière, permettent d’atteindre un niveau de disponibilité suffisant pour connecter.

L’aptitude à régresser augmente à mesure que nous nous préparons et que nous expérimentons. Les mp3 offerts par Jean-Charles Chabot que je propose systématiquement afin de travailler l’aptitude à accueillir les informations sont d’une aide précieuse. Chaque écoute active en nous les ondes cérébrales propices à la bonne réception d’information.

Différents facteurs entrent en compte pour connecter de manière satisfaisante dès la première séance.

  • Tout d’abord avoir pris son temps pour ouvrir sa pensée. Lire, se documenter, permet d’offrir un terrain favorable à l’exploration de nos mémoires.
  • Les sujets qui méditent régulièrement perçoivent plus facilement les informations.
  • Avoir effectué les écoutes des mp3 de manière régulière une quinzaine de fois.
  • Lors de la régression, accueillir sans se poser de question chaque information qui émerge en nous sans chercher à comprendre. Simplement décrire avec le plus de détails possibles ce que l’on perçoit. L’intelligence utilise le flux de parole pour augmenter la connexion. Plus on décrit, plus c’est précis.
  • Parfois l’intelligence montre une image sans autre explication. Si l’on cherche à comprendre pourquoi on voit cette image au lieu de décrire l’image, l’information risque de ne pas s’ouvrir.
  • Il s’agit vraiment de décrire lors de l’exploration même (surtout) si on ne comprend pas ce qui se déroule en nous.
  • Ensuite, dans de très rares cas, il faut s’y prendre à plusieurs reprises pour commencer à explorer de manière satisfaisante les mémoires. C’est parfois l’apprentissage patience, ou persévérance qui demande à être travaillé en premier.

Le plus important à retenir est que ce qui se passe lors d’une régression, quelle qu’elle soit, est le mieux pour nous ce jour-là.

  • Les régressions ne sont pas à préconiser pour certaines structures de personnalité. En ce qui concerne les structures psychotiques, décompensées ou non-décompensées, cette pratique n’est pas recommandée.

Il leur est déjà suffisamment difficile de délimiter leur Moi, il ne serait pas judicieux d’y ajouter l’exploration d’autres consciences. Le risque serait d’ajouter de la confusion.

Je sais bien qu’en lisant ces lignes ceux qui ne possèdent pas de base en psychologie se demandent à quelle structure leur personnalité appartient !

Une métaphore simple peut vous permettre de vous situer.

Un névrosé c’est un automobiliste qui prend l’autoroute dans le mauvais sens et qui se demande comment il a bien pu se mettre dans une situation pareille, comment il a pu commettre une telle erreur.
Un psychotique c’est un automobiliste qui prend l’autoroute dans le mauvais sens et qui se demande ce qu’ils font tous dans le mauvais sens.

  • Il est préférable que les enfants et les adolescents ne régressent pas. La structure psychologique n’étant pas parvenue à un niveau de maturité stable avant 18 ans, il est bon de laisser du temps au temps et d’attendre la majorité pour ce travail.
  • Les personnes sous médicament doivent en avertir le praticien.
  • Les personnes souffrant d’addiction doivent être à jeun le jour de la régression (sans alcool ou autre drogue quelle qu’elle soit)

C’est l’intention que nous posons en commençant la séance.
Se souvenir est important pour réorganiser notre compréhension.

Nous sommes pleinement conscients lorsque nous régressons. C’est même ce qui étonne souvent. Notre niveau de lucidité est très élevé. Il s’agit d’une pratique qui expanse la conscience, non qui la déconnecte.

Parfois, lors des séances un peu plus longues ou très denses dans le contenu des apprentissages, nous ne nous souvenons pas de tout en détail. C’est aussi pour cela que nous enregistrons la séance afin de pouvoir la réécouter si nous le désirons.

Lorsque nous ressentons un souhait sincère d’explorer c’est que nous sommes prêts. On peut conserver une petite appréhension, ce qui est bien normal, car il s’agit d’une expérience nouvelle. Cette peur se dissipera rapidement. Il est dans tous les cas important d’en parler en début de séance pour l’apaiser.

En ayant respecté les préconisations de base, à savoir pas de personne mineure, pas de personne dont la structure serait psychotique, pas de personne sous l’influence d’une drogue, le seul risque c’est d’évoluer.

Le processus est sécurisé par les nôtres de l’autre côté du voile. Ils nous aiment plus que tout, mille fois plus qu’une mère en serait capable sur Terre.

Chaque information qui nous est transmise est forcément celle dont nous avons besoin pour progresser ce jour-là.

Le risque que l’on court c’est surtout de déranger nos certitudes, de perdre nos illusions sur le bien et le mal. De sortir de la plainte et d’entrer dans la responsabilisation de soi, mais cela, c’est plutôt bon signe quand on souhaite travailler sur soi.

C’est une des premières choses que l’ouverture de conscience permet. Sortir du dualisme bien, mal pour entrer dans le monisme (la conscience de l’unité invisible de l’être).

Entrer dans cette compréhension que notre âme a expérimenté d’autres vies dans d’autres corps, amène la nécessité de revoir cette pensée dualiste judéo-chrétienne.

Chaque vie fait partie d’un immense puzzle expérimenté par notre âme. Tels des motifs sur un mandala, chaque expérience vient équilibrer, compléter une compréhension, ce que nous appelons de l’autre côté  »leçon » car tout n’est qu’apprentissage.

Chaque vie contient des défis que nous pouvons connaître lorsque nous interrogeons nos guides (nos meilleurs amis de l’autre côté), afin de développer des qualités spécifiques et d’accéder à des champs de conscience plus vastes.

Tout ce que nous explorons est transmuté, c’est à dire analysé et libéré, avec l’aide de l’Intelligence d’amour.

Vu par leurs yeux et leur cœur, tout est parfait.

Connecter avec eux après l’exploration d’une vie permet d’accéder à ce niveau de conscience.

Ensuite il s’agit de comprendre que tout ce que l’on vient expérimenter et tout ce que l’on vit est lié à nous-même. Pour apprendre, grandir, pour mieux aimer.

On pourrait craindre que cela fasse naître des rancœurs anciennes qui n’auraient plus lieu d’être dans cette vie présente et que cela entache le lien.

Mon expérience, que ce soit en tant que thérapeute ou en tant que sujet, me permet de constater que c’est tout l’inverse qui se produit.

Accéder au sens permet de complètement sortir du jugement. Tout est utile au cheminement de chacun. Tout n’est que jeu de rôle.

Parfois il est nécessaire de revenir au moment vibratoire où deux âmes choisissent leur rôle ensemble avant l’incarnation, pour réellement percevoir le sens de tout cela et accéder à l’apaisement.
Ressentir la joie, l’amour, l’espoir de devenir meilleur, l’entraide d’âme à âme, pour partager des apprentissages complémentaires, ouvrir notre conscience, en choisissant des chemins de vie avec des expériences communes.
C’est cela le choix de l’incarnation terrestre.

Ce qu’il s’agit de préciser c’est l’objet de la recherche initiale, ce qui nous pousse à effectuer cette démarche.

Est-ce de la curiosité ?
Est-ce un besoin de vérifier soi-même si tout cela existe réellement ?
Est-ce pour avoir des réponses à des questions précises (sens de symptômes, mission de vie, conseils divers) ?
Est-ce pour rencontrer un être cher qui se trouve de l’autre côté ou rencontrer son guide ?

Dans ce cas une régression dans les vies antérieures et une dans l’entre-vie permet d’obtenir déjà beaucoup d’informations.

Si le souhait est de travailler sur soi, dans ce cas, l’associer à une thérapie et inscrire le travail dans la durée est nécessaire.

Comme chacun peut aisément l’imaginer, s’engager dans un travail sur soi n’est pas simplement expérimenter une ou deux fois ce voyage.

De la même manière que l’on ne consulte pas un psychanalyste, une ou deux fois en pensant avoir effectué un vrai travail approfondi, régresser une ou deux fois constitue une expérience fabuleuse, qui peut tout changer dans notre vision des choses, du monde, de la vie, mais n’est rien à côté de ce que l’on en retire lorsque l’on régresse régulièrement en alternant des séances de thérapie psychanalytique.

Autant que le cœur nous en dit. Plus on travaille avec eux, plus notre conscience s’ouvre, plus notre cœur s’ouvre, plus notre niveau de bien-être augmente.

Pour avoir travaillé avec un psychanalyste pendant huit ans, j’ai pu expérimenter comment ce que l’on peut croire comprendre lors de la première année de notre analyse, change à mesure que l’on chemine, pour être très différent de ce que l’on comprend au bout de quatre ans, puis six puis huit… Pourtant tout était juste, seulement une infime partie d’un tout immense qu’il n’était pas possible d’appréhender dans sa complexité avant.

Pour les régressions c’est très similaire. Ils nous permettent d’accéder à nos vies dans un ordre précis afin d’accéder aux apprentissages nécessaires à l’ouverture de notre conscience les uns après les autres.

Pour en avoir effectué pour moi-même soixante-cinq, je perçois mieux le sens de l’articulation des vies entre-elles.

Ce n’est pas obligatoirement le cas. Dans l’incarnation terrestre, le mental crée toutes sortes d’analyses et d’interprétations qui sont plus de l’ordre de la rationalisation que de la réelle compréhension.

L’Intelligence possède un niveau de conscience bien plus vaste que le nôtre. Seuls, nous ne sommes pas en mesure de percevoir ce qui est réellement important lors de la régression pour que notre évolution.

C’est pour cela que l’intention posée lors de la régression la plupart du temps c’est d’avoir accès à une vie qui a beaucoup d’influence sur notre vie présente, de manière à laisser la place à ce qui est réellement important pour nous. Au-delà de nos croyances sur nous-mêmes et sur le monde.
Il s’agit d’accepter de recevoir leur réponse, quelle qu’elle soit. Même si certaines de nos interrogations restent sans réponse.

La confiance dans le processus prend tout son sens dans cette dimension là du travail. Chaque information nous sera donnée en temps et en heure.

Tout est juste.

Certaines de nos questions resteront sans réponse, tant que certaines situations, ou rencontres ne seront pas survenues dans notre vie. Il peut s’écouler un an, deux ans parfois avant de comprendre vraiment certains éléments de notre vie.

Évoluer prend du temps, aimer prendre son temps permet d’évoluer vraiment.

Chacun va recevoir l’information en fonction de sa sensibilité personnelle.

Certains percevront plus facilement des images, d’autres des intuitions, des savoirs, des compréhensions, d’autres des ressentis, parfois un mélange de tout cela.

L’essentiel reste de recevoir inconditionnellement tout ce qui émerge en soi. Ils utilisent tous nos écrans internes pour nous transmettre l’information.

La première régression permet de découvrir comment ils communiquent avec nous sur nos écrans.

Ensuite, selon le  »matériel » de la régression, certains sens peuvent être privilégiés par les  »nôtres » pour nous protéger. Une patiente qui avait perdu un enfant dans sa vie présente, a perçu la même situation dans une vie passée en ayant accès seulement à son savoir, sans éprouver d’affect. Cette protection, choisie par son guide, lui a permis d’accéder à l’information, sans réactiver la douleur de sa vie présente.

Parfois c’est l’inverse, on éprouve principalement une vive émotion, sans savoir ce qui la suscite. L’information se précisant quelques instants après.

L’important à savoir est qu’ils nous protègent et qu’ils ne nous montrent que ce qui est bénéfique pour nous, pour notre évolution. S’ils nous donnent accès à une émotion, c’est que nous pouvons l’éprouver.

Nous veillons à ce qu’aucune émotion ou sensation ne soit inconfortable. Il est toujours possible de diminuer la sensation en cas de besoin simplement en posant l’intention.

La souffrance morale fait partie des sentiments que nous pouvons éprouver dans une certaine mesure bien entendu lorsque nous régressons. Si nous devons l’éprouver, c’est souvent furtivement.

De la même manière on peut pressentir que nous vivons des souffrances physiques lorsque notre autre corps était atteint. Tout peut être diminué.

La libération émotionnelle et physique que permet la reviviscence de ces souffrances est un atout majeur des régressions. Se remémorer pour libérer l’émotion c’est ce que nous faisons lors des cures psychanalytiques. Nous appelons cela l’abréaction. C’est ce qui constitue le levier thérapeutique le plus puissant de la cure.

Rien de ce que l’on éprouve n’est négatif, tout peut être retransformé et tout passe. Comme dans la vie au fond.

C’est une question importante.
Peut-être même l’une des plus importantes à mes yeux.

Je me la suis posée longtemps. Le doute fait inévitablement parti du cheminement spirituel surtout lorsqu’il s’agit d’explorer le monde interne, tellement de facteurs peuvent influencer nos expériences.

La première réponse que l’on pourrait apporter serait qu’au fond, tant que l’expérience apporte un bénéfice thérapeutique profond et durable peu importe.

Mon expérience en tant que thérapeute, après avoir accompagné plusieurs centaines de fois mes patients dans leurs autres vies et après avoir régressé à titre personnel de nombreuses fois (plus de cent-soixante jusqu’à ce jour), m’amène à cette ouverture de conscience qu’il s’agit bien plus que de simples fantasmes.

J’ai pu expérimenter des explorations d’une même vie par deux, voire trois personnes différentes, voyant chacune par leur point de vue de cette vie commune. Et ce à plusieurs reprises avec des personnes différentes.

Par ailleurs, je reçois beaucoup d’information en même temps que la personne que j’accompagne, ce qui permet de confirmer la connexion à une information partagée.

Récemment, une patiente souhaitant simplement explorer son enfance a été emmenée par  »les nôtres » dans une vie antérieure alors qu’elle n’était pas consciente de notion de réincarnation, percevant cette autre vie comme s’imposant à sa conscience, allant jusqu’à la connexion à son guide tout en en ignorant encore l’existence ! Ce fut un moment très intense, très intéressant et très instructif.

Ces explorations m’ont été offertes afin que je puisse vérifier la congruence de ces souvenirs et que je puisse libérer mes doutes en organisant une compréhension plus profonde de ces voyages.

Comme les informations nous sont transmises sur nos écrans internes, il faut un temps pour apprendre à faire confiance à l’information qui émerge en nous. C’est comme ça. Apprendre à faire confiance et à lâcher-prise.

Tout est possible.

Nous pouvons explorer une vie de manière très approfondie.
Nous pouvons explorer deux vies successivement dont les apprentissages s’équilibrent (percevant les points de vue opposés ou complémentaires d’une même situation, d’une vie à l’autre).
Nous pouvons explorer plusieurs extraits de vie lorsqu’ils souhaitent nous faire travailler un thème particulier (leçon similaire de vie en vie).

L’Intelligence décide de ce qui sera le plus approprié pour nous ce jour-là comme toujours.

Lorsque l’on contacte notre guide (être de sagesse qui nous accompagne et qui veille sur nous) lors d’une régression dans l’entre-vie, nous pouvons lui demander de nous montrer des extraits de vie avec des personnes de notre choix, afin de mieux comprendre les enjeux karmiques qui nous lient à eux.
Ce qui permet dans ce cas d’avoir accès à six, sept vies différentes.

L’état de conscience nécessaire à l’hypnose de régression correspond à un état d’hyper conscience.
Nous sommes totalement conscient, nous nous souvenons de tout. C’est ce qui surprend souvent lors de la première exploration.
Cet état de connexion se développe en activant certaines ondes cérébrales (Alpha et Theta) qui permettent l’expansion de conscience.

Le mental restera présent tout au long du travail. Comme un observateur plus ou moins vigilant, plus ou moins souple…

Plus on régresse, plus on lâche prise, moins le mental est fort, mieux on connecte.

Par ailleurs, plus on réfléchit moins on reçoit d’information, plus on décrit rapidement plus on perçoit clairement.

Explorer d’autres vies permet un effet paradoxal, celui de libérer le mental du passé.

Lors de la transe hypnotique, nous apprenons à écouter, recevoir l’information, donc peu à peu à différencier le mental du savoir provenant de notre cœur (c’est-à-dire du véritable savoir). En faisant de plus en plus confiance à notre intuition, en suivant notre ressenti sincère.

C’est tout cela qui permet d’être dans l’instant présent.

Plus on explore les autres dimensions, plus il est facile d’être conscient dans l’instant.
Plus on prend de la hauteur en percevant les défis de chaque vie, plus on peut se libérer des jugements, plus les relations s’apaisent, moins le passé n’a d’importance.

Connecter permet de libérer, donc de ne plus vivre l’influence de la vie explorée.

C’est un constat que ma pratique m’a permis de faire rapidement. Sur les problèmes de peau (acné, eczéma, psoriasis…) d’asthme, de douleurs inexpliquées, une à plusieurs régressions permettent souvent d’apaiser différentes sortes de symptômes.

Parfois, les symptômes expriment une mémoire cellulaire qui, une fois la reviviscence de ce qui a généré l’émotion effectuée, n’a plus lieu de se manifester par l’expression somatique.
J’en ai déjà parlé lors d’une conférence, une jeune fille qui n’avait jamais effectué de travail thérapeutique avant cela, après quatre régressions, constata une très nette amélioration de son asthme. 70% en moins. Et ce alors qu’elle souffrait d’une asthme sévère la contraignant à faire des cures de longues durées pour cela. Le facteur émotionnel avait été libéré.

Les guérisseurs, que nous contactons à la fin de chaque régression, aident à libérer les mémoires, à régénérer l’organisme en effectuant un travail énergétique.

L’autonomie dans l’ouverture spirituelle constitue plus qu’une démarche, il s’agit d’une véritable prise de conscience.

Nous sommes responsables de notre évolution, de notre cheminement et des moyens que nous employons pour approfondir notre compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.

Outre la documentation que chacun peut se procurer pour enrichir sa compréhension, s’entraîner à régresser seul, méditer, connecter à l’intelligence de notre cœur permet une évolution importante lorsque nous l’intégrons à notre quotidien.

Le travail de régression se pratique de manière autonome en utilisant des guidances sur YouTube.

Dans ce cas, la régression sera simplement moins intense émotionnellement. Le contenu et la connexion à l’intelligence apportant une aide précieuse à chaque exploration, je vous encourage vivement à pratiquer cette discipline.